Chambre de Killak

Ivy, Angelic, Beast Lycan, Soul Foot

Killak entra dans sa chambre, elle était spacieuse, contrairement à d'autre pièces du manoir, elle était non lugubre, teintée d'un bleu océan, un tableau de sa femme et de son fils était placé au-dessus de son lit. Killak mit son armure de combat, il mit Ivy, l'épée fouêt, autour de sa taille, les Soul Foot, à ses pieds, l'Angelic, comme un arc normal, et l'épée géante, la Beast Lycan, derrière son dos.

-Voila maintenant il faut attendre.

Viktor entra aprés avoir cogner dans la chambre de Killak. Il fut quelque pas, salua le propriétaire de cette chambre, étudia un peu le mobilier bien moins sombre que le sien...

Il remarqua le tableau de sa famille, accroché au dessus de son lit. L'enfant. Et la femme.

- Un portrait de famille, n'est-ce pas ?

Il fit un pas, étudiant la trame du tableau, laissant les couleurs étranges imprégner ses sens.

- Votre enfant. Et... Votre femme...

Ce dernier mot réveilla en Viktor de bien étranges sentiments enfouis depuis une éternité derrière une barrière émotionnelle solide et à toute épreuve.

-Oui mon amour interdit, Amine, une Lycan, et mon fils Mattew.

Killak poussa un soupir.

-Ma femme est décédée, mon fils à été enlevé par les siens, j'ai parcourut la terre pendant cent ans sans rien retrouvé.

Dit Killak

Viktor acquiesça sombrement.

- Ah... Les Lycans... Je vois... Il y a toujours eu un soucis avec eux... Moi-même je les connais bien... Avant d'être Vampire, je fus humain. C'était il a bien longtemps. J'avais un frère de ce temps, lui devint Lycan. Nous restâmes proches et aussi voulûmens unir nos deux races. Pas sous notre banière - à cette époque je n'avais que faire de commander - mais plutôt grâce à nous, pour stopper les guerres qui nous déchirent depuis la nuit des temps. Malheureusement, il y eut une guerre. Les chefs des deux bords ne voulurent pas faire de trève. Et une guerre sanglante le fit disparaître sans que je sache comment le retrouver...

Il détourna le regard du tableau.

- Je ne sais pas où il est, je ne sais même pas s'il est vivant. J'ai essayé de le retrouver, mais ce fut vain. Il n'était nulle part. Ceci eut lieu il y a sept siècles.

Il jeta un bref coup d'oeil à la peinture où il se dessinait la femme perdue de Killak.

- Vous avez sans doute un lieu où pleurer la mort de votre femme, une tombe, un sanctuaire où les souffrances de votre coeur peuvent se soulager un temps. Je fus marier également. Il y a six siècles, et pendant trois. Elle était Vampire, mais pas d'origine, tout comme moi. Ce fut le plus grand amour de ma vie, bien plus grand que tout ce que j'avais pu vivre en tant qu'humain. Elle m'était complémentaire. Tout ce qu'il me manquait, elle l'avait. Nous avons vécu une passion sans limite, au delà de toute imagination. Mon âme maudite trouvait un immense réconfort dans cette passion, je me sentais quasiment vivant... Presque rien n'aurait pu nous séparer. Presque rien, excepté une autre guerre. Une guerre ailleurs contre un peu tout le monde. Des Humains nous ont traqué comme des bêtes, ont détruit notre refuge, notre Manoir. Et je l'ai perdu...

Il ferma les yeux, serrant les poings.

- Je ne sais pas ce qu'elle est devenu. Je n'ai jamais cessé de la chercher. Depuis les trois siècles qui m'en séparent, j'arpente le monde à la recherche d'un signe, d'une trace de sa survie... C'est terrible de ne pas savoir.

Il fit appel à ses pouvoirs et se souleva légèrement du sol. Ses robes flottaient autour de lui. Se concentrant un peu plus, il s'exprima par la pensée directement dans l'esprit de Killak.

*C'est terrible d'avoir la puissance d'un maître mais d'être incapable de simplement retrouver son amour...*

-Je comprend, Viktor, je sais ce que sa fait, cette épée géante que j'ai la, est une arme, puissante appartenant à mon grand amour, tout ce que j'ai d'elle son, ces tableaux, cette arme et également mon fils, que je n'ai pas put retrouvé.
J'ai également de grand pouvoir, peut être pas autant que les tiens, mais malgrés sa et mon age, tout ce que j'ai pu faire, c'est de donner une prison de glace à Amine, lui donnant sa beauté de toujours.

Dit il, retenant ses larmes.

Viktor toucha à l'épée dans son fourreau sur le flanc.

- Ce que nous avons vécu nous rend plus fort. Les difficultés nous fortifient chaque jour. Tout ça fait partie de notre passé. Et même si c'est douloureux, nous ne devons pas le renier. Peut être les jeunes vampires l'apprendront-ils avec le temps...

-Oui, surement, c'est d'ailleurs que nous irons dans cette forêt, en paralnt de sa, la nuit est tombée.

Dit Killak en regardant par la fenêtre de sa chambre.

-Les jeunes vampires doivent être prêt allons y.