Contrôle de la rage.

Killak et Mëi, au bout de trente minutes était arrivé à la cascade, elle était assez calme et petite, mais possédé une puissance et une grande profondeur.
Il se posérent et Killak parla.

-Bon, ta colère, si tu la canalise, tu pourrait très bien marché sur l'eau, et rester tout le temps, jour et nuit sous cette cascade, mais pas tout de suite, tout d'abord ne t'encombre pas d'arme ou de vêtement trop lourd, je dit pas sa pour voir une chose en particulié, c'est pour que tu soit à l'aise, au besoin, j'ai des vêtement dans mon sac.

Killak se enleva son sac, donna les vêtements à Mëi, il se mit en torse nu, un corp parfait ce caché sous ses vêtement, il garda son pantalon, et avança sur l'eau, il pouvait marchait sur le liquide de la vie.

-Je t'attend sous la cascade, à tout de suite.

Il se mit à courrir et à se placer sous la cascade.

Meï n'avait pas dit un mot. Elle regarda Killak courir sur la rivière. Elle ne croyait pas qu'un jour, elle puisse faire ce qu'il avait dit. De plus, avec le manque de fatigue, elle ne sentait pas toute là, son esprit était ailleure.

La jeune elfe deposa ses armes et aurtres bagages près de la rive et elle entreprit de changer ces vêtements. Ceux que son ami lui avait offert étaient très simple et léger.

Elle ne voulait pas se mouiller toute de suite, alors elle survola la rivière jusqu'à la cascade. Puis elle la traversa.

-A te voila.

Dit Killak, assis en tailleur, et haussent légèrement la voix.

-Bon je te conseil de t'assoir comme moi, une fois fait, pense aux humains, mais leurs bon côté.

Meï affirma d'un signe de la tête. Elle vint s'asseoir les jambes croisées en face de lui. Elle ferma les yeux pour mieux se concentrer.

Elle pensa aux humains, mais elle ne voyait pas de bons côtés. Tout ce que l'elfe savait d'eux pour l'instant était une domination. Les fois qu'elle avait côtoyer les hommes étaient marqués par la violence et la guerre. Elle avait beau imaginer ces être en paix, mais elle ne voait que le diable incarner.

Après quelques minutes, Meï rouvrit les yeux en signe d'impuissance.

- Tu devrais me donner des informations sur leur culture. Cela m'aiderai surment.

-Daccord, pense à leur courage pendant la guerre, pense aussi aux femmes, elle travail dur pour la récolte des champs, pour que sa famille gagne de l'argent et mange, pense aux grandes familles, pense à la mortalité, l'immortalité n'à pas toujours des bons côté tu sais, tu doit pleurer sur tous ce que tu aime et que tu vois mourrir, et rappel toi que c'est eux qui ont crées beaucoup d'arme et de magie.

Dit Killak l'air appaisait.

-J'ai exactement les même pouvoirs que toi tu sais, je ne l'ai utilise jamais, j'utilise les lycans moi.

Meï écouta attentivement Killak. Elle s'imagina les scènes que son amis lui décrivait.

- D'accord.Je peux bien admmettre qu'il y aurait du bon dans leurs tribues, mais n'empêche que je ne pardonnerai pas ce qu'ils ont fait et ce qu'ils feront.

Elle réessaya de se concentrer. Malgré les efforts, elle avait toujours cette pionte de colère au fond d'elle. La rage s'était imprénier dans son coeur comme une cicatrice. Elle ne pourras jamais être apaisée.

-Les humains ne sont pas tous mauvais, ma femme était une moitié d'humain n'oublie pas, il y aussi les enfants et les femmes qui ne demande rien à personne et les villagois qui travail dur.

Dit il avec le plus grand calme.

Meï resta concentrée. Elle continua de s'imaginer des paysans qui labouraient des champs, des femmes et des enfant qui jouait dans les ruelles... Puis, d'un coup, tout s'écroula. Elle voyait des paysages masacrés par la guerre que les hommes avait déclenchée.

La jeune efle ouvrit les yeux subitement.

-Écoute. Cela ne marche pas j'ai beau m'imaginer que ces personnes sont bon, mais je ne peut cesser de penser à la guerre.

Meî s'était levée tout en parlant.

- Je suis fatiguée. Je n'ai pas dormis la nuit dernière. La prochaine j'aurai peut-être une meilleure concentration.

-Oui, peut être, mais il nous faudra partager ma tente alors, parce que je manque de sommeil.

Il plata la tente, et entra dans la tente, il était sec.

-Bon allez demain est un autre jour.

Meï regarda à travers la chute.

-Tu sais, j'ai besoin de réfléchir seule. Je vais aller dormir sur la rive. On se revoit demain à la première heure.

Elle s'envola pour atterrir près de ses affaires.

-Pas de problème.

Il se glissa dans la couverture et dormit tout de suite.

Meï avait à peine étendu sur le sol pour observer les étoiles qu'elle s'endormi. Le lendemain matin, La jeune elfe se réveilla tôt. Le soleil lui même n'était pas tout à fait lever.

C'est qui est apparut devant elle en renard qui sortai d'un peti bois avoisinant. Il était furieux et grognait à près l'elfe, puis s'enfui en courant. Meï était intriguée. Elle décida de suivre le renard.

Alors qu'elle arriva sur un sentier, le renard était devant elle toujours aussi méfiant. Meï voulait apaiser la garde qu'il prenait. Elle essaya d'entré dans son esprit.

*Derrière toi!*

Cette indiquation la surpris. Elle était sceptique. Alors, elle regarda derrière elle. Il était trop tard, Elle reçu un coup sur la tête. Meï tomba à genoux. avant qu'elle tombe dans l'inconscience, elle tous juste le temps d'avetir le renard d'aller chercher son ami. Puis tout devient noir.

Le renard n'a pas pris de temps, il parti aussitôt vers la cascade.

Killak venait de se reveillé, il sortit de sa tente pour voir Mëi, mais elle n'état pas la. Un renard apparut aussitôt, et parla à Killak, qui fut assez étonné, mais le renard avait un voix similaire à une jeune fille que Killak connaissait bien, Meïwenn, la voix disait au Secours.

Killak fonça vers la direction qu'avait prit le renard.

Le renard amena Killak à l'endroit où Meï s'était fait attquer, mais l'agresseur et l'elfe n'y étaient plus.

Le renard trouva des traces qui continuaient sur le sentier vers l'ouest. Il pris le pans du pantalon de killak et l'attira vers sa découverte.

-Qu'à tu trouvé la?

Des empreintes étaient dessinées sur le sol, des empreintes qui disent qu'on à trainé quelqu'un.

-Mëi et son agresseur son partit de ce côté, ami renard, veut tu bien me guider jusqu'à eux?

On aurait dit que le renard avait compris et détala, Killak fit pareil.

Le renard suivait les empreints qui parfois sortaient du chemin. Ils zigzaguaient pour esayer de brouiller les pistes. Quelle chance avait killal d'avoir un renard qui l'aidait. Avec sonil suiva le parfum de Meï. Il était surprenant qu'ils ne réussissait pas à rattrapper l'avance qu'avait l'assaillant.

Après quelques heures, ils avaient devant eu un labyrinthe...


(Poursuit un topic dans le labyrinthe^^)