Une nuit seule

Meï sorti de la tente en vitesse. Elle avait perçu, dans son esprit, un danger. Non dans la forêt, mais dans les plaines. Une armée avançait tranquillement vers le campapent. La jeune elfe ne pouvait les affronter seule. Elle rammassa ses affaires et pris la seule direction possible: la forêt.

Alors qu'elle était à la recherche de killak, les hommes, car s'étaient bien des hommes, l'avaient vue s'enfuir. Meï étaient maintenant plus préoccuper à distancer le humains que de retrouver son ami.

Killak, qui était toujours entrain de couper des squelette et autre mort vivant, avait du mal à s'en sortir, pourtant il n'était pas blessez, soudain il eut une idée.

-Bon vous l'aurez voulu.

Il sortit son arc d'ange et tira en l'air trois flèches de lumière en l'air.

-Vous allez rejoindre la terre, adieu.

Cette attaque s'appelait les cents flèches de l'apocalypse, il avait tiré trois flèches et ce fut cent flèches qui tombèrent.

Killak avait décider de rebrousser chemin, il se dit que Mëi pourrait avoir de ennuie avec quelques courageux squelette, mais à un moment il vut une bonne trentaine d'homme, et au centre son amie. Il sauta rejoindre Mëi au millieu des humains.

-Interressant, partez humain, ou mourrait sous le poid de ma magie.

- Tu arrive à point. Lui dit-elle lorsqu'il la rejoinit. Ma magie est inutile dans ces cas comme ça.

Ils étaient dos à dos et regardaient les hommes qui pointait leurs armes sur eux.

-Fait-les disparaître! ordonna Meï avec une pointe de rage dans la voix.

-Comme il te plaira, Mëi.

Il se dirigea vers le premier groupe d'ennemis qui coupa en morceau.

-Shimo Ba-shira nan'byaku.

Plusieurs centaine de petit pic de glace se retrouvé propulsé sur les ennemis, tous fut touché et blessé grievement. Killak faisait attention, quand il était face à des adversaire plus fort que d'autre il prononça ses sorts à haute voix. Il ne restait plu qu'une dizaine d'humain vivant et en pitieux états.

-Bien bien, nous avons tué une bonne trentaine d'hommes armés jusqu'aux dents, donc je me régale en âme, de plus je t'ai trouvé à manger dans la forêt, c'est maigre, mais sa suffira à combler ton estomac.

Il y avait dans son sac à dos tout plein de fruit different qui poussait dans la forêt, des champignons aussi.

-Mais dit moi, pardonne moi d'insister mais, ta rage contre les humains, est elle justifieé?

Meï le remercia pour les fruits et les champignons. Elle s'en régala de quelques uns avant de répondre à sa question. Elle la regarda dans les yeux.

-Elle l'est pour moi. Dit-elle tout simplement. Ce qui m'inquiète par contre c'est pourquoi ces hommes était en patrouille pendant la nuit près de la forêt.

Killak resta silencieux un moment et puis parla.

-Je pense que c'est en rapport à tous ses monstres qui sont apparus dans la forêt, mais sa à peut être rapport avec toi, je ne sais pas ce qu'il sais passé, j'aimerait le savoir mais, si tu veux pas me le dire, je ne vait pas te forcer à me le dire.

Killak et Meï avançaient vers la sortie de la forêt, mais soudain un homme parla tout prêt.

La jeune elfe pourrais lui dire toute la vérité. Il lui avait sauvée la vie. Elle devait bien cela.

- D'accord! Je peux bien te le dire ce qui m'enrage autant, mais je doute que l'armée d'hommes soit en rapport avec moi.

Mais Meï ne pu continuer puisque un hommes avait interrompu la conversation. Elle chercha à repérer la voix. Les sons étaient inaudible, on ne comprenait pas de quoi il parlait tellement qu'il marmonnait.

Les deux elfes se rapprochèrent furtivement, l'homme qu'ils avaient entendus parlé était grand avec une armure noire, l'autre était plus petit avec une cape et chapeau de magicien noir.

-Tu verra je vaincrait tous les habitants de cette forêt noir, je veux en faire ma demeure afin de dompter tous les monstres et... conquérir le monde. Dit l'homme à l'armure.

Killak et Meï etendèrent tout, Killak, à l'aide d'un sort ridicule, ecrivit à l'aide de l'eau "qu'est que l'on fait, si tu veux on les atteques tu fonce et je te suivrait si c'est non ne fait rien." tout cela en elfique bien entendut.

Meï n'en fit rien. Sa curiosité en prenait le dessus, elle voulait connaître la suite bien qu'elle trouva ridicule que l'homme croyait prendre le dessus de cette forêt. Elle était trop vieille et la nature régnait en maitre dans ces lieux. Elle s'impatienta très vite.

-On va les surprendre et les questionner. On les menacera si il ne coopèrent pas.

-Parfait, c'est ce que j'attendait, mais menaçons les tout de suite c'est beaucoup mieux.

Les deux elfes sortirent leurs arcs, Killak ordanna aux hommes de ne pas bouger.

-Attention je suis très bon tireur, je ne rate jamais ma cible, alors attention.

Killak visa l'homme à l'armure, il y avait une flaiblesse au niveau de la tête et Mëi, quand à elle visa le magicien.

-Nous vous avons entendut parler de gourvenation du monde, et en premier lieu, de cette forêt, comment allez vous vous y prendre?

L'homme répondit.

-Nous avons milles homme, dix dragons et un grand mage-guerrier, que vous faut il de plus?

Killak ricana.

-Vous savez la forêt est vieille, mais puissante, la nature vous en empéchera et nous aussi.

L'homme en armure et son acolyte rièrent aux eclats.

-Vous voulez nous en empécher, alors adieu.

Dit le mage en lançant des pics de glace sur Killak qui les reçu de plein fouêt.

Killak se sentait, malgrés ses blessures, d'une étrange joie, il se releva, et alla prêt de son amie, celle là même qui à sauvé la vie de l'hybride.

-Merci, "Kaifuku".

Dit il en posant ses mains sur la tête de l'elfe, c'était un sort de soin puissant qui agissait en moin de une minute.

-Tu est sauvée mon Mëi, parcontre, toi guerrier inconnu, tu va mourrir "Suiton Suiryuudan".

Un dragon d'eau sortit de la terre et noya l'homme.

-C'est une bonne chose de faite, Meï j'espere que sa va allez.

Le sort que lui avait donner son ami lui fit le plus grand bien. Meï se releva tout de même avec un peu de difficulter. Un mal de tête commença à faire son entré.

-Qu'est-ce qui c'est passé? Comment j'ai réussi à faire cela?

Elle se rappela d'avoir fouiller la mémoire du magicien, mais comment il est mort? Elle commença à avoir peur de ses pouvoirs.

-Mais toi, tu vas bien? tu n'est pas blessé j'espert?

-Ne t'en fait pas ce magicien de pagotille ne sais pas très bien faire le sort des pics de glace, et puis je vait te dire, tant qu'il y a de l'eau quelques part, je suis pour ainsi dire, immortel, mais garde le secret.

Killak réflechit un instant à l'acte héroique de son amie.

-Ce nouveau pouvoir est apparu quand j'ai été attaqué par cette attaque, j'en conclu donc que c'est par la colère qu'elle se forme, mais tu doit apprendre à dompter ta colère en apprenant cette forme de Télékinésie.

Meïwenn se senti rassuré qu'il ne soit pas blesser et elle promi de garder son secret.

- N'empêche que je ne me souvien pas d'avoir untilisé de tels pouvoirs. Je vais devoir contrôler ma colère si c'est le cas.

Elle essaya de se rappeller ce qu'elle avait vu dans la mémoire du magicien.

-Nous devons empêcher cette domination du monde avant qu'il soit trop tard.

-Oui, c'est une bonne idée canalise la, tu apprendra à faire voler des objets de loin avec un peu d'entraînement.

Killak était ésitant, lui demandé ce qu'il c'est passé pour que sa rage contre les humains soit aussi puissante, ou bien de pas le lui dire.

-Que c'est il passé, pourquoi tant de haine envers les humains?

Dit il inquiet.

La jeune efle lui tourna le dos, croisa ses bras, puis inspira un bon coup:

-Voilà pas si longtemps, j'ai tout perdu de leur faute. J'ai perdu ma maison, mon héritage et les personne aux qu'elles je tennais. Je ne pouvais rien faire pour empêcher ce qu'il est arrivé. Je m'en veux, des fois, de n'avoir rien fait.

Elle ne pu s'empêcher de verser quelques larmes en pensant à ses moments douloureux.

- Depuis, j'espert venger les personnes qui étaient innoncents. C'est pour cela que j'ai cette rage contre les humains en moi.

Il alla prêt d'elle et mit ses bras autour de son cou et la serra doucement.

-Allez, une jolie fille comme toi ne devrait pas pleurer, bien au contraire.

Killak réflechit un instant.

-Bon je vait te raconter mon histoire, mais soit discrête. Ma femme s'appelait Amine Lycana, elle était le produit de l'amour entre un humain et une Lycan. On c'est rencontré alors que moi, mon frère Nicciaté, et deux amis, Julius, un géant et Aby-Gaelle, une Archange, essayons de sauvé le monde et de nous vengé.
Mes parents sont mort à cause de la traîtrise de Soma, un vampire puissant, que Nicciaté à térrassé il y à mille cinq cent ans, et oui je vie depuis 1500 années.
Cela dit moi et Amine étions très proche et nous avons commencé à epprouvés des sentiments l'un envers l'autres, pour finir nous nous sommes mariés et nous avons eu un enfant, Mattew, quand les Lycan apprirent sa, il tuèrent Amine, et enlevérent mon fils afin de faire des expériences sur lui. Mais ce n'est pas pour sa que je hais.

Meï sècha ses larmes pendant que son compagnon lui raconta son histoire.

-Mais c'est affreux! Nous devrions rechercher ton fils. Il est peut-être toujours en vie.

Puis elle réfléchit à son histoire, mais des détails lui échappait.

- Pourquoi les lycans s'en ont pris à ta famille en particulier?

-Merci de te soucier de moi, mais j'ai déja cherché pendant cents longues années j'ai érré pour retrouvé ma seul famille, oui car mon frère est mort peux de temps aprés, sa femme Aby-Gaelle, l'était bien avant, Julius est mort en même temps que notre autre compagnon, quand à ma nièce... je ne sais pas. Et puis si ils s'en sont pris à ma famille, c'est à cause du mélange entre race, tu n'était pas au courante, à l'époque les Lycans était encore plus strict sur sa, ses parents et les miens sont mort à cause de sa.

Killak reprit sa respiration, puis repris, de petite larme coulèrent le long de ses joues.

-Ne t'en fait pas ce n'est rien, c'est juste que je me rappelle des bons souvenir, sa me manque et je me rappelle des mauvais souvenirs souvenirs, de leurs morts...

L'elfe se mit devant lui et le tien par les épaules:

- Écoute, nous devrions arrêter de se rappelle du passé. Il faut se concentrer plus sur le présent. Cette domination dont l'homme a mentionné, nous ne devons pas la prendre à la légère et faire quelque chose pour l'empêcher.

Elle ramassa son arc et ses flèches.

- Sortons de la forêt. Je ne veux plus jamais la revoir. Elle ne fait qu'annoncer des ennuis.